Anaïs Da Vitoria Pinto Lobo - Ancienne étudiante métiers de la cultureQuel a été votre parcours avant l'IESA arts&culture ?

Une licence en Langues Etrangères Appliquées en Anglais et Espagnol, option Communication, puis 9 mois à l'étranger (année sabbatique).

Pourquoi avoir choisi l'IESA ?

J'ai choisi de faire le Mastère Production culturelle pour mon intérêt pour la culture et les arts ; je baigne dans ce milieu depuis ma naissance (grands parents violonistes, amis de la famille peintres et musiciens...)

Dans le cadre de votre formation métiers de la culture à l’IESA, vous êtes partie en Erasmus à l’étranger. Racontez-nous cette expérience ?

Une expérience à l'international est toujours un élément très positif sur tous les plans. J'avais déjà eu quelques expériences précédemment, mais jamais dans un cadre plus officiel. Un semestre Erasmus était donc un bon atout pour mon CV.

Depuis mon entrée à l'IESA j'ai développé un certain intérêt pour les musées, de plus j'aime être dans des environnements nouveaux. C’est pourquoi j’ai choisi d’intégrer le master de muséologie de la Reinwardt Academie à Amsterdam était donc parfait.

Le master était très instructif, les professeurs très intéressants, et notre promotion très soudée, comme l’ont d’ailleurs confirmé nos professeurs.

En quoi pensez-vous que cette expérience puisse par la suite vous servir dans votre parcours professionnel ?

Premièrement la spécialisation en muséologie m'ouvre de nouvelles portes et m'a appris beaucoup de choses. 

Deuxièmement, un an et demi après mon retour d'année sabbatique, j'ai jugé que c'était une bonne idée de partir, pour garder mon CV dynamique et intéressant pour les employeurs. 

Je me suis diversifiée (j'ai appris quelques bases de graphisme, un domaine qui me passionne) et j'ai eu la chance de travailler avec ma classe en relation directe avec le musée Alvar Aalto en Finlande, pour lequel nous avons réalisé une proposition de rénovation qui sera utilisée au cours des prochaines années.

De plus, je fais en ce moment un stage dans la recherche dans un musée à Amsterdam, un domaine qui m'était complètement étranger et qui le serait sûrement resté sans cette opportunité !